Inscrit au SIFA par Illiassou, un ami de son père, il a suivi sa formation de décembre 2013 à juillet 2014. Avant, Mahamadou pratiquait la culture traditionnelle de la canne à sucre, de la pastèque et de la salade sur une partie de l’exploitation familiale et pratiquait l’exode avec un revenu moyen annuel n’excédant pas 15 000 à 20 000 FCFA.
Aujourd’hui avec l’acquisition de nouvelles compétences en production agricole, il a su améliorer ses activités et a un chiffre d’affaire annuel avoisinant 600 000 FCFA.
« Depuis ma formation j’ai cessé l’exode qui m’apportait peu. Le SIFA permet aux jeunes de s’insérer professionnellement de façon durable et de diversifier nos activités agricoles. Le SIFA a également contribué au changement des habitudes de production de nos villages. »